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- Sciences En Mouvement d’Elles
Sciences En Mouvement d’Elles 7 octobre 2020 Bibliothèque de Latillé (86) La bibliothèque municipale et le collège Arthur Rimbaud de Latillé souhaitaient organiser des événements pour les élèves lors de la Fête de la Science. Les élèves de 3ème du collège ont rencontré, par petits groupes, des chercheuses afin de découvrir les métiers de la recherche scientifique. Anne Cantereau-Becq , responsable de la Microscopie Confocale au sein de la Plateforme ImageUP au laboratoire STIM de l’Université de Poitiers. Elle travaille sur la signalisation et les transports ioniques membranaires. Elsa Tamisier , doctorante au laboratoire XLim de l’Université de Poitiers. Son sujet de thèse traite du réalisme des objets à très petits détails en synthèse d’image. Léonie Pacher , doctorante en biomécanique et capteur sans fil dans les instituts de recherche Xlim et Pprime. Béatrice Lefebvre-Wolff , doctorante à l’INRAE, son sujet de thèse porte sur les traits associés à la performance des génotypes de luzerne au sein de peuplements prairiaux mono et plurispécifiques. En savoir plus Contacts : Patricia Arnault Céline Nauleau < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Déambulation dans l’univers des femmes scientifiques
Déambulation dans l’univers des femmes scientifiques 8 mars 2022 Campus de Rangueil, Toulouse Une visite guidée pour rendre visibles 7 personnalités scientifiques féminines et faire connaître les centres de recherche du campus Rangueil Une visite guidée dans les rues proches de la bibliothèque universitaire qui portent le nom de 7 femmes scientifiques (Hypatie d’Alexandrie, Hélène Richard-Foy, Rose Dieng-Kuntz, Sébastienne Guyot, Rosalind Franklin, Marianne Grunberg-Manago, Huguette Delavault) pour découvrir ces personnalités et les centres de recherche du campus Rangueil. Leur rendre hommage c’est aussi l’occasion de parler de la place des femmes dans la science d’hier et d’aujourd’hui, et de découvrir plusieurs centres de recherche de réputation internationale. Une action proposée par l’association Femmes & Sciences en partenariat avec l’Université Toulouse III - Paul Sabatier Départs à 10h (Lycée Bellevue), 12h, et 13h, le 8 mars à l’intersection de la rue Hypathie et de l’allée Huguette Delavault sur le campus de Rangueil (118 route de Narbonne, Toulouse, plan ici ) Mise à jour du 7 mars : la visite de 15h est annulée faute d'un nombre suffisant d'inscriptions. Il est possible de se rendre aux visites de 12h et 13h. Cet évènement est annoncé dans le programme du Mois de l'Égalité à Toulouse. Retrouvez le programme complet ici . © F&S, UPS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Elles font l’Espace
Elles font l’Espace Lancement du podcast « Elles font l’Espace » : Une nouvelle voix pour les femmes du spatial Alors que les femmes sont encore sous-représentées dans le secteur spatial, le podcast « Elles font l’Espace » animé par Jules Grandsire et porté par l'association La Bêta-Pi a pour ambition de mettre en lumière les parcours inspirants de femmes qui jouent un rôle clé dans le secteur spatial pour amplifier et normaliser la voix de celles qui « font » l’espace, briser les stéréotypes persistants, et encourager les nouvelles générations à suivre leurs traces. Les trois premiers épisodes du podcast ont été diffusés le 21 Octobre 2024 et d’autres suivent. Ils sont visibles sur les réseaux sociaux, YouTube et le site de l’ESA : https://www.esa.int/Space_in_Member_States/France/Podcast_Elles_font_l_Espace_une_nouvelle_voix_pour_les_femmes_du_spatial Femmes & Sciences est partenaire de l’association La Bêta-Pi pour ce projet. Contact : Julien Rol Malherbe, co-directeur de l’Association La Bêta-Pi, julien.malherbe@labetapi.fr < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- F&S à la Journée « Filles, maths et informatique : une équation lumineuse »
F&S à la Journée « Filles, maths et informatique : une équation lumineuse » © Josiane Zerubia Intervention d'une de nos membres à la Journée « Filles, maths et informatique : une équation lumineuse » au Lycée Dumont d'Urville à Toulon Josiane Zerubia est intervenue le 2 décembre 2021 au Lycée Dumont d'Urville à Toulon au titre de F&S et de TerraNumerica (via l'Inria) sur le thème des stéréotypes lors de la journée « Filles, maths et informatique : une équation lumineuse ». Cette journee initialement prévue mi-mars 2020 a été reportée plusieurs fois. Finalement, elle a pu avoir lieu et a été très fructueuse. 138 jeunes filles, de la 2de aux classes prépa, venant du département du Var (83) ont participé. Il y avait des élèves des lycées Dumont d'Urville (Toulon), Rouvière (Toulon), Bonaparte (Toulon), Le Coudon (La Garde), Langevin (La Seyne sur mer) et Raynouart (Brignoles). En savoir plus sur cette journée < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Une table ronde pour la journée internationale des droits des femmes
Une table ronde pour la journée internationale des droits des femmes 7 mars 2019 Hôtel du Département, Évreux Le 8 mars 2019, Sandrine Morin, membre du groupe normand, a participé à une soirée organisée par le Département de l’Eure pour la journée Internationale du droit des femmes. La table ronde "Femmes d’exception dans l’Eure" a été l’occasion d’entendre les témoignages de femmes avec des métiers majoritairement masculins. Cet évènement a permis de nombreux échanges, questions et réponses avec le public ainsi que la présentation de l’association Femmes & Sciences. < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Armelle Corpet
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Armelle Corpet Enseignante-chercheuse en épigénétique "L'origamiste du vivant" Armelle Corpet est maître de conférences de l’Université Claude Bernard Lyon 1, et chercheuse à l’Institut neuromyogène (INMG, Lyon1 / CNRS / Inserm). Après une classe préparatoire à Sainte Geneviève, elle intègre l’ENS de Paris et obtient une agrégation en sciences de la vie, de la Terre et de l’Univers puis un master en cancérologie. À la suite de sa thèse portant sur le rôle des protéines impliquées dans le maintien de l’organisation du génome, elle continue ses recherches sur la dynamique de la chromatine au sein des cellules humaines. « J’aimerais dire aux jeunes filles cette phrase de Marie Curie, une femme scientifique que j’admire : Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre. » Armelle Corpet travaille dans un domaine qu'on appelle l'épigénétique, c’est à dire l’étude des changements de l’activité des gènes n’impliquant pas de modification de la séquence d’ADN et pouvant être transmis lors des divisions cellulaires. « Cet ADN, porteur de notre information génétique, est compacté, enroulé autour de protéines histones, précise-t-elle. Il a été découvert ces dernières années que, sur ces protéines, on peut faire d'infimes modifications qui vont influencer la lecture de l'information génétique et l'expression des gènes. Mon domaine de recherche étudie comment l'ADN va s'enrouler autour de ces protéines et comment ce processus d’assemblage est régulé de façon dynamique au cours de la vie cellulaire. » Issue d’un milieu scientifique – un père chercheur en géophysique et une mère médecin – Armelle Corpet a très tôt bénéficié de sorties savantes en famille dans les montagnes du Puy. Pourtant les grandes orgues basaltiques ne lui suffisent pas, « j'avais aussi l'envie de comprendre comment fonctionne le corps humain. C'est ce qui m'a poussée à intégrer l'ENS pour faire des études de biologie. » Interrogée sur ses études, Armelle Corpet est un peu nostalgique des deux années passées en classes préparatoires qu’elle qualifie de meilleures années de sa vie. Années de bonheur pour cette jeune fille qui possède une véritable soif de connaissance. Et si cela lui demande beaucoup de travail – tant de choses à apprendre et à connaître jour après jour – elle profite aussi de toutes sortes d'activités culturelles et sportives sur place, et surtout, elle y rencontre celui qui deviendra son mari. Devenue scientifique et mère de famille, la disponibilité n'est pas toujours évidente pour Armelle Corpet qui sourit en ajoutant : « en France, nous avons la chance d'avoir un système qui facilite le travail des femmes, ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays, même très proches de nous. » L'exception culturelle atteint toutefois certaines limites : « j'ai failli abandonner en cours de route. Il y a énormément de pression en recherche pour avoir des résultats. J'ai deux filles et trois garçons, et j'ai toujours clairement dit que je voulais équilibrer ma vie familiale et ma vie professionnelle, mais ce n’est pas facile. J’adore ce que je fais mais je pense que je n'y serais pas arrivée sans l'aide de mon mari, qui prend sa part de charge mentale. C'est un point extrêmement important, les pères ont clairement leur rôle à jouer. » Son domaine, en quelques mots : Rôle du complexe chaperon d’histones HIRA dans la dynamique de la chromatine - Au cœur de chacune de nos cellules se trouve l'ADN qui est le support essentiel de notre information génétique. Cet ADN s’enroule autour de protéines histones pour former la chromatine. Les histones sont accompagnées par des protéines spécialisées nommées chaperons d'histones. Armelle Corpet étudie le rôle du complexe chaperon d’histones HIRA dans la déposition des histones pour former la chromatine. En particulier, elle s’intéresse au rôle de ce complexe lorsque les cellules sont soumises à des stress tels que des dommages à l’ADN ou lors du vieillissement cellulaire.
- Accueil des femmes afghanes
Accueil des femmes afghanes © AdobeStock Des femmes afghanes universitaires, diplômées ou étudiantes, sont actuellement en grand danger. Nous appelons à les accueillir en France ou en Europe. (Mise à jour le 18/12/2021) A partir du 1er janvier 2022 la plateforme de l'association Femmes & Sciences pour la défense des femmes afghanes scientifiques change d'objectifs : elle sera dédiée à l'accueil des femmes afghanes scientifiques exilées arrivant en France. Contact : soutenir.afghanes@femmesetsciences.fr Ces femmes afghanes représentent tout ce que le régime actuel souhaite éliminer : ce sont des femmes qui travaillent et qui contribuent à l’éducation, à la recherche et à la vie économique. Ce sont des modèles pour les générations d’Afghanes à venir. Nos collègues afghanes sont en danger de mort. Nous sommes à la 25è heure, mais nous devons les aider. Elles sont en grave danger, elles ne peuvent plus travailler sous le régime actuel et elles sont physiquement menacées. C’est notre devoir de faire tout notre possible pour protéger celles qui représentent nos valeurs. Chacune, dans nos universités, nos écoles et nos entreprises, nous sommes prêtes à identifier des départements d’accueil, à les accompagner pour bénéficier du programme PAUSE ou d’autres programmes, à les aider à retrouver du travail, à persuader nos présidentes ou présidents, nos directions et nos collègues de se battre pour les accueillir le mieux possible et leur offrir un environnement de travail qui leur permette de poursuivre leurs études pour les étudiantes, leurs recherches et leurs enseignements pour les universitaires, de poursuivre leur carrière professionnelle pour les diplômées. Nous appelons toutes les personnes qui connaissent des étudiantes, des diplômées et des universitaires afghanes à entrer en contact avec nous et à nous fournir les informations qui nous aident à les identifier, à demander leur exfiltration et à préparer leur accueil dans nos universités ou nos entreprises. Nous appelons toutes et tous les collègues qui souhaitent nous aider et contribuer à les sauver à nous indiquer quels départements, quelles universités ou quelles entreprises sont prêtes à accueillir ces étudiantes, ces professeures ou ces diplômées. Nous appelons le gouvernement et les services de l’État à nous aider à faire sortir ces collègues d’Afghanistan et à leur accorder l’asile en France. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Valérie Castellani
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Valérie Castellani Biologiste "Un petit pas pour la recherche, un grand pas pour les bébés" Valérie Castellani est directrice de recherche CNRS, elle dirige l'équipe Neuro-développement, cancer et signalisation à l'Institut NeuroMyoGène de Lyon (INMG, Lyon1 / CNRS / Inserm). Spécialiste en biologie du développement, elle s'intéresse aux communications moléculaires entre les cellules et leur micro-environnement dans l'embryon. Elle est également la fondatrice de la start-up OncoFactory. En 2018, elle obtient la médaille de l’innovation du CNRS. « Travailler dans la recherche fondamentale pour étudier et combattre un cancer pédiatrique : le neuroblastome. » Comment le système nerveux se forme dans l'embryon ? Valérie Castellani a choisi cette thématique au fil de ses rencontres, scientifiques ou non, pour finalement conduire des recherches fondamentales axées sur la compréhension des mécanismes cellulaires et moléculaires qui sous-tendent la génération des neurones dans l’embryon, leur migration et leur maturation pour former les structures nerveuses. Ses recherches ont permis de développer diverses approches expérimentales qu’elle transfère alors à la problématique des cancers pédiatriques. L’objectif est d’aborder la tumorigenèse et la dissémination métastatique sous l’angle de la biologie du développement et des interactions spécifiques des cellules tumorales avec leur micro-environnement immature. Le bébé est en effet un être en pleine construction, et bien différent d'un adulte, ce qui confère nécessairement aux cancers pédiatriques des caractéristiques uniques. Dans le cadre d'OncoFactory – start-up créée en 2016 avec Céline Delloye Bourgeois – Valérie a développé une technologie qui permet la reproduction des tumeurs des patients dans des modèles in vivo afin d'évaluer et de prédire l'efficacité des candidats-médicaments. « Curieuse d'esprit, j'aimais me poser des questions, résoudre des problèmes. Travailler dans un contexte qui dépasse un peu l'individu me semblait avoir une dimension universelle. » L'universalité, ne serait-ce pas aussi clarifier l'image des femmes dans la recherche ? « La recherche est un monde passionnant dans lequel les jeunes filles ont toute leur place » affirme Valérie Castellani. « Les femmes scientifiques peuvent pleinement exercer leur métier, de la même façon qu'un homme, tout en ayant des enfants, mais, précise-t-elle, ce qui limite la progression de la carrière des femmes, c'est qu'elles se censurent, parce qu’elles ont besoin de se sentir légitimes. Quant aux hommes, ils les déconsidèrent parfois professionnellement parce qu’elles ne font pas les mêmes choix d’arrangement carrière/famille. Plus tard, le déséquilibre se creuse dans les postes à responsabilité. Les femmes qui vont aujourd'hui vers ces métiers-là doivent avoir la possibilité d'accéder aux mêmes évolutions de carrière que celles des hommes. » C’est ce qu’essaient de mettre en place les établissements d’enseignement supérieur et de recherche en impulsant des politiques d’égalité hommes-femmes. « Suivez vos envies, conseille Valérie Castellani aux lycéennes, allez là où votre curiosité vous porte, les métiers de la recherche sont des métiers passionnants ; vous avez toute votre place dans ce monde-là. Il faut oser, ne pas se limiter et surtout ne pas douter de vos capacités. » Son domaine, en quelques mots : Contrôle des divisions et migrations cellulaires dans l’embryon par les signaux de topographie - L’embryon est le siège de processus spectaculaires de multiplication et de migration cellulaire qui transforment un amas initial de cellules en un organisme extrêmement complexe et organisé. Le dérèglement de ces mécanismes développementaux peut aboutir à la formation de cancers et à la dissémination des cellules cancéreuses dans l’organisme. Valérie Castellani étudie les dialogues des cellules avec leur environnement, pour comprendre la formation de l’embryon et les dérèglements à l’origine de cancers pédiatriques.
- Séverine Louvel
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Séverine Louvel Sociologue "J’aimerais communiquer sur tout ce qui fait la beauté de mon métier : la liberté pour organiser mon travail, l’alternance entre travail individuel et en équipe, les échanges et les rencontres, l’ouverture internationale, l’autonomie pour décider de mes recherches et l’apprentissage tout au long de ma carrière" Séverine Louvel est maîtresse de conférence Sciences Po Grenoble au laboratoire Pacte, laboratoire de sciences sociales (Pacte - CNRS / UGA - Sciences Po Grenoble-UGA). Elle étudie les relations entre sciences et sociétés. Au lycée, Séverine Louvel veut être journaliste, par goût de l’écriture et pour explorer des sujets de société. Elle découvre la recherche en sociologie une fois étudiante au département de sciences sociales de l’ENS Cachan, en licence et en master. Elle est attirée par la grande liberté intellectuelle qu’offre la recherche, la possibilité d’approfondir sa réflexion, de transmettre des connaissances par l’enseignement. En licence, elle explore un peu tous les domaines de la sociologie, sans savoir véritablement vers lequel s’orienter. Elle découvre la sociologie des sciences en master, par des lectures et des rencontres avec des chercheuses et des chercheurs du domaine. Elle commence alors à se passionner pour les sujets relatifs à l’organisation de la recherche ou encore aux retombées sociales de la science. Finalement, elle fait une thèse sur les transformations de l’organisation des laboratoires de recherche en France depuis les années 1970 à l’université de Grenoble, avant d’être recrutée comme enseignante-chercheuse à Sciences Po Grenoble. Les recherches de Séverine Louvel portent aujourd’hui sur trois sujets : la recherche interdisciplinaire qui associe les sciences sociales et les sciences de la vie ; la présence médiatique des sciences émergentes et le développement de l’intelligence artificielle en médecine. Elle recourt à des entretiens approfondis avec les acteurs concernés, des observations de terrain et des analyses statistiques sur des gros corpus de documents (littérature scientifique ou encore contenus médiatiques). Elle travaille avec des collègues de Pacte ou d’autres laboratoires en France et à l’étranger. Ces collaborations sont essentielles pour mettre en évidence la dimension internationale des phénomènes qu’elle étudie ou pour relever certaines spécificités françaises.
- La mixité femmes-hommes dans les métiers du numérique
La mixité femmes-hommes dans les métiers du numérique 8 mars 2023 Lyon Femmes & Sciences participe à la journée organisée par la direction régionale aux droits des femmes et à l’égalité de la Préfecture sur la mixité dans les métiers du numérique. Pour la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2023, la Direction Régionale aux Droits des Femmes et à l'Egalité de la Préfecture de Région Auvergne Rhône-Alpes organise à Lyon la journée de rencontres interprofessionnelles Mixité femmes-hommes 3.0 ., pour la mixité dans les filières et les métiers du numérique. Articulée autour d'ateliers de travail collaboratifs, cet événement a pour objectif de définir les priorités et les modalités d’actions dans le but de favoriser la mixité femmes-hommes dans les métiers du numérique. Isabelle Vauglin, présidente de Femmes & Sciences, présentera les actions de l'association autour de la thématique des femmes et du numérique et de la promotion de ces filières d'études auprès des jeunes. < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Participation aux Journées de la Matière Condensée
Participation aux Journées de la Matière Condensée 29 août 2018 Université Grenoble Alpes Le 30 août 2018, le groupe a organisé, lors des Journées de la Matière Condensée JMC2018 de la Société Française de Physique, une session plénière intitulée "Égalité des chances, un enjeu pour tous et toutes, femmes et hommes". Un quizz ayant pour thème l’égalité femmes/hommes a été distribué dans les mallettes des congressistes. Deux cents personnes hommes et femmes ont participé à la session. Les interventions tant des invité·es à la table ronde que des participant·es dans l’amphi ont été pertinentes et circonstanciées. De telles sessions devraient avoir lieu dans d’autres congrès. < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Sandra Turner participe à "Un jour, une rencontre inspirante"
Sandra Turner participe à "Un jour, une rencontre inspirante" © Sandra Turner Sandra Turner, membre de Femmes & Sciences, a participé à une présentation de ses activités de recherche et de son parcours scientifique en mode visio pour les jeunes. Sandra Turner, membre de Femmes & Sciences, a participé le 28 janvier 2021 à une présentation de ses activités de recherche et de son parcours scientifique lors d'un cycle de visioconférences "Un jour, une rencontre inspirante". Ce cycle est proposé par l'Ouverture Sociale Etudiante de l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (OSE ISAE-SUPAERO). Ce programme est soutenu par la Fondation ISAE-SUPAERO et par le GIFAS. La présentation "La diminution des vols causée par la pandémie a-t-elle un effet sur les prévisions météo ?" est disponible quelques semaines suivant le lien : https://youtu.be/WtJJ382HAxA < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >